terça-feira, 19 de maio de 2009

NO TEMPTRESS



C'est tout plus ou moins clair, soit disant pur. Tout comme un visage qui s'endort, on s'éteint doucement parmis les milliers de pages de nôtre bouquin. Mais ça va plutôt bien. On faite, tout cela est normal ou bien on casse son moral. Il y malgrés tout de belles images partout qui repartent en arrière parmis nos doigts tandis qu'on rêve et on pense pareil qu'hiers. Puis on marche à l'envers et déjà le trajet fini. Bienvenue la jeunesse qui suppose qu'il n' y aura rien de mieux après. L'immortalité précaire n'est rien d'autre qu'une affiche qui se déchire, comme une memoire que nos yeux ont toujours connu. Si elle parlait, a priori elle dirait qu'elle se retrouve une vingtaine d'années au même endroit. Voici l'hasard immobile et docile qui nous enseigne la tendresse d'une fête qui se termine... et je saute des paragraphes...


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